Un amendement adopté le 9 novembre au Sénat prévoit de supprimer la qualification par le Conseil National des Universités (CNU) pour l’accès au corps des PU et des MCF mono-appartenants.
Nous nous inquiétons qu’une telle évolution n’ouvre la voie à des inégalités et un « localisme » dans les recrutements en contradiction avec les principes fondateurs de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Nous refusons cette atteinte grave au CNU et nous opposerons formellement à toute éventuelle mise en danger du CNU des sections médicales, odontologiques et pharmaceutiques.